Coopération au développement

Une université citoyenne ouverte sur le monde, un acteur du développement


Depuis plus de 70 ans, l’Université de Liège met en œuvre des partenariats de qualité avec des institutions du Sud à travers tous les profils et métiers de l’université. La coopération académique au développement à l’ULiège représente des collaborations avec 30 pays. Nos académiques, scientifiques et étudiants y sont actifs dans plus d’une centaine de projets et y effectuent en moyenne par an 275 missions. Chaque année, l’ULiège ouvre ses portes à plus de 400 doctorants et 1200 étudiants issus des pays de la coopération académique belge au développement.

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La coopération universitaire au développement à l'ULiège, c’est quoi ?

Un historique et une volonté de partenariat durable et ancré dans les réalités de nos partenaires

A l’ULiège, la coopération au développement touche tous les domaines de recherche, d’enseignement et de service à la communauté. L’institution a contribué à la mise en place de plusieurs institutions comme : l'UNALM, l’UNILU, le CAVTK… En outre l'ULiège est présente de manière permanente à Kinshasa grâce à la Plateforme Afrique Centrale  qu'elle a mise en place en 2013. Depuis ses débuts, l’ULiège investit durablement dans des partenariats ancrés dans les dynamiques de nos institutions partenaires.

Un soutien gouvernemental et financier

Les activités de coopération universitaire au développement sont financées par divers bailleurs dont les plus importants sont les bailleurs publics/institutionnels et en particulier le gouvernement fédéral au travers de la Direction générale Coopération au développement et Aide humanitaire (DGD).

Au sein de l’Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur (ARES), une commission spécifique est chargée de définir et de gérer le financement fédéral de la coopération académique et scientifique au développement et ce en synergie avec les Etablissements d'Enseignement Supérieur (EES) flamands via le VLIR et l'Institut de Médecine Tropicale (IMT) : la Commission de Coopération au Développement (CCD). Il s'agit d'un financement important (147.500.000/5ans) spécifiquement dédié aux métiers des universités (recherche, enseignement et service à la communauté) où l'ULiège est leader en termes de part de financement et d'activités.

Au niveau des financements publics, l'ULiège travaille également avec l'Agence Belge au Développement (ENABEL) avec laquelle elle a un accord-cadre de coopération. La Fédération Wallonie-Bruxelles (WBI) finance également des collaborations de l'ULiège avec des acteurs du Sud par le biais de commissions mixtes permanentes ou de programmes de cofinancement de projets de partenariat pour le développement. Enfin, au niveau européen certains financements sont dédiés spécifiquements aux activités de coopération universitaire au développement.

Une ouverture citoyenne sur le monde

Les activités de l’ULiège en tant qu’acteur de la coopération au développement participent au développement durable. L'institution partage ses savoirs qui seront porteurs de changements sociétaux pour les défis de demain. Par l'ampleur de ses activités de coopération au développement, l'ULiège se positionne comme leader en Fédération Wallonie Bruxelles en termes d'ouverture citoyenne au monde.

Les outils ULiège au service de la coopération au développement

Afin de mener à bien ses activités de coopération au développement, l’ULiège a mis en place une administration dédiée : le PACODEL et une antenne en Afrique centrale : Plateforme Afrique Centrale.

Il existe par ailleurs une ONG de l'Université de Liège : ECLOSIO.

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Consulter la notice d'information relative aux traitements de DCP du Pacodel


©crédit photo : Xelkoom - unsplash

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